Sur le CATALOGUE

Lux prima

2019

Résumé

Démarrant sur une longue pièce aux soyeux arrangements, entre Pink Floyd, Art of Noise et Massive Attack, sur lequel la chanteuse psalmodie tel un mantra ensorcelant « I’m nowhere, I’m no one, I’m nobody » (« je ne suis nulle part, je ne suis personne, je ne suis rien »), Lux prima ouvre avec grâce un univers où il fait bon s’abandonner. Derrière, l’exquise et vaporeuse complainte pop Ministry prolonge le charme que rien, ensuite, ne saura rompre. Ni la disco soyeuse de Turn the light, ni la pulsion R’n’B du torride Woman. Difficile de dire qui a inspiré qui, de Karen O ou de Danger Mouse, on sent juste le plaisir complice que chacun prend à stimuler l’autre, avec telle trouvaille instrumentale, telle prise ­vocale qui s’autorise, avec harmonie, tous les excès... **Télérama**.

Note(s)

Texte des chansons.

Indices

  • 2.7
Contenu

Lux prima. - Ministry. - Turn the light. - Woman. - Redeemer. - Drown. - Leopard's tongue. - Reveries. - Nox lumina.

 
La réservation n'est possible qu'aux utilisateurs authentifiés. Veuillez vous connecter ou demander un compte.