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Freaks Out

Editeur(s)

[S.l.].

Résumé

Résumé : Rome, 1943, sous occupation nazie, la Ville éternelle accueille le cirque où travaillent Matilde, Cencio, Fulvio et Mario comme phénomènes de foire. Israel, le propriétaire du cirque et figure paternelle de cette petite famille, tente d'organiser leur fuite vers l'Amérique, mais il disparaît. Privés de foyer et de protection, dans une société où ils n'ont plus leur place, les quatre "monstres" vont tenter de survivre dans un monde en guerre... Bonus : Making of, Conception des effets spéciaux, Scènes coupées, A propos de la bande originale, Comparaison scénario/storyboard,.

Note(s)

Prêt + consultation. - Audiodescription pour aveugles et malvoyants. - Langues : français, italien Sous-titres : français Sourds et malentendants : français Audiovision : audiodescription en français. - Sous-titres pour sourds et malentendants. - Format(s) Vidéo : 16/9, 2.39. - Format(s) audio : Dolby Digital 5.1. - Année de réalisation : 2021. - 16 ans et plus. - Véritable déclaration d'amour à la culture italienne, celle des anonymes, des humbles et des marginaux, ce merveilleux monstre incite à une perception poétique vomissant la norme, où les super pouvoirs définissent l'infinie supériorité de l'art sur le monde. En cela, le geste est aussi politique : exacerbant l'impureté esthétique, l'hybridité, Gabriele Mainetti s'intègre tout naturellement à sa galerie de freaks. - Culturopoing - Olivier Rossignot et Alexandre Lebrac. - Une fresque de plus de deux heures sans temps mort où poésie, action et aventures ne font merveilleusement qu'un. - Ouest France - Thierry Chèze. - Par quel alignement de planètes un metteur en scène italien de 45 ans a bien pu accoucher d'un spectacle pareil, ressuscitant une idée de cinéma que les Européens ne savent plus fabriquer et qu'Hollywood ne veut plus imaginer. - Première - La Rédaction. - Gabriele Mainetti frappe fort avec Freaks Out, film aux multiples références qui va autant piocher dans le cinéma d'Alex de la Iglesia pour le côté extravagant des personnages au look BD que dans celui de Guillermo Del Toro lorsqu'il s'agit de traiter la bestialité humaine, qui n'est pas toujours là où elle semble se dissimuler. - L'Ecran Fantastique - Cédric Coppola. - On en redemande. Ces 145 minutes ont l'air d'en durer trente. Les Américains ont du souci à avoir. Le spectacle n'est plus de leur côté. - Le Figaro - Eric Neuhoff.

Indices

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